Le général Qaani a discrédité d’un seul coup les allégations des médias occidentaux
Pars Today - Le commandant de la Force « Qods » du CGRI a assisté à une cérémonie publique, échouant ainsi la guerre psychologique menée par les médias occidentaux.
Cité par Pars Today, le journal international Tehran Times a écrit dans un article s'attardant sur l'attitude des médias occidentaux envers le général Qaani : « L'impartialité et l'honnêteté sont les principaux piliers d'un journalisme responsable, du moins c'est ce qu'on dit ; Cependant, dans les médias occidentaux, le favoritisme manifeste du régime israélien et son parti pris inconditionnel en sa faveur, à tout prix, sont plus visibles que jamais. »
« Ces médias tentent par tous les moyens de justifier le régime qui commet des crimes inimaginables contre l’humanité. Ce processus honteux, autrefois limité par les principes de l’éthique journalistique, se transforme aujourd’hui en diffusion de désinformations. Au cours de l’année dernière, les médias ont mis de côté le principe d’éviter même de diffuser de fausses nouvelles.
Depuis le 7 octobre 2023, les médias regorgent de fausses nouvelles sur le Hamas, les Palestiniens, les Libanais ou encore les Iraniens. Parmi ces informations fabriquées de toutes pièces figurent des affirmations horribles, telles que la décapitation d’enfants israéliens par le Hamas, ou le bombardement de l’hôpital al-Arabi al-Ahli et l’utilisation de zones civiles comme boucliers. Mais même de telles histoires peuvent sembler plausibles comparées aux affirmations ridicules qui ont fait surface ces dernières semaines sur l'endroit où se trouve le commandant de la Force Qods du Corps des Gardiens de la Révolution islamique (CGRI), ainsi que son état de santé.
D’abord, il a été rapporté qu'Esmaïl Ghaani avait été tué lors de l'attaque israélienne contre Beyrouth le 26 septembre, lors de laquelle le secrétaire général du Hamas, Hassan Nasrallah, est parallèlement tombé en martyre. Le CGR a annoncé que l'un des commandants supérieurs, le général Nilforoushan, était également mort en martyr à la suite de l'attaque.
Après l'identification des corps des victimes, les médias occidentaux ont lancé une nouvelle vague de fausses informations, affirmant que le général Ghaani aurait également été grièvement blessé lors de l'attaque. Ensuite, une autre rumeur a été circulée sur la Toile d’Internet selon laquelle Ghaani aurait été transféré à Téhéran à bord de l'avion du ministre iranien des Affaires étrangères Abbas Araghtchi, qui s'était rendu à Beyrouth pour des rencontres courtes avec les autorités libanaises en pleines offensives israéliennes.
Cependant, lorsqu’un haut responsable du CGRI a démenti la rumeur selon laquelle Ghaani aurait été blessé, les médias occidentaux ont commencé à répandre une autre nouvelle fallacieuse. La source en était Middle East Eye, basé à Londres et sponsorisée par le gouvernement qatari.
Un journaliste irakien anti-Résistance a pour sa part prétendu : « Selon dix sources à Téhéran, Beyrouth et Bagdad, Ghaani est « interrogé » pour son rôle dans la « faille des renseignements », entraînant l'assassinat de Seyyed Hassan Nasrallah.
Par la suite, un certain nombre de médias sont allés plus loin et ont rapporté que Ghani avait subi une « crise cardiaque » pendant l'interrogatoire. Ceci étant Mais le commandant, dont on avait annoncé qu'il avait été tué, blessé et arrêté, est apparu lors d'un événement public le mardi 15 octobre.
Qaani a participé aux funérailles du martyr Nilforooshan aux côtés d'autres collègues du CGRI et d'autres responsables iraniens alors qu'il était en parfaite santé et calme. Il a été vu en train de prier et de discuter avec les assistants. Il a ainsi rejeté toutes les allégations des médias occidentaux.
Aux côtés d'autres responsables et commandants du CGRI, Esmaïl Ghaani a assisté aux funérailles du général Nilforoushan, alors qu'il était en parfaite santé et calme. Il a été vu en train de prier et de discuter avec les assistants. Ainsi, toutes les affirmations des médias occidentaux ces derniers jours sont restées lettre morte.
Que font les médias occidentaux ?
Le général Ghaani, à l’image de son prédécesseur, le martyr Qassem Soleimani, est connu pour être moins visible en public et moins susceptible d’interagir avec les médias. Des commandants comme lui ne sont généralement vus que lors d’événements officiels auxquels participent des autorités du pays à tous les niveaux. Par conséquent, la tentative des médias occidentaux de semer le doute sur sa « longue absence en public » était ridicule dès le début.
Seyyed Reza Sadr al-Hosseini, expert de l'Asie de l’Ouest, a déclaré : « Je pense qu'en plus de tenter d'affaiblir le moral des combattants de l’axe de la Résistance, les médias occidentaux, en collusion avec les services de renseignement israéliens et américains, ont tenté de traquer Qaani. Parce que collecter des informations sur les commandants de la Force Qods est effectivement difficile. »
Il a par ailleurs prévenu : « Une collaboration aussi étroite et régulière avec les services d’espionnage ternira irréversiblement le prestige des médias occidentaux, un processus qui a déjà commencé. »
La confiance du public dans les médias occidentaux décline rapidement. Les médias tels que Reuters et le New York Times, autrefois considérés comme des sources d’information fiables, sont désormais confrontés au problème du scepticisme croissant du public en raison de leur tendance apparente à déformer la vérité. L’époque où l’on acceptait aveuglément leurs affirmations touche à sa fin alors que de plus en plus de personnes recherchent des sources d’information alternatives.
La confiance du public dans les médias occidentaux décline rapidement. Les médias tels que Reuters et le New York Times, autrefois considérés comme des sources d’information fiables, sont désormais confrontés au problème du scepticisme croissant du public en raison de leur tendance apparente à déformer la vérité. L’époque où l’on acceptait aveuglément leurs affirmations touche à sa fin alors que de plus en plus de personnes recherchent des sources d’information alternatives.
Mots clés : Qui est Sardar Qaani ?, Force Qods du CGRI, combattants de l’axe de la Résistance, médias occidentaux, guerre psychologique, rumeurs
