guantanamo sioniste au cœur du désert du néguev, aux territoires occupés : révélation de tortures brutales dans les prisons du régime occupant israélien
Parstoday - Les palestiniens récemment libérés des prisons du régime occupant sioniste se trouvent dans une situation si désordonnée que de sérieuses questions ont été soulevées concernant ces prisons et le comportement du régime usurpateur sioniste avec les prisonniers palestiniens.
L'Observatoire euro-méditerranéen des droits de l'homme a récemment publié un communiqué sur les violations des prisonniers palestiniens dans les prisons du régime criminel sioniste et a déclaré que ces prisonniers étaient soumis à des assassinats brutaux et à la torture.
Selon Parstoday, les documents disponibles indiquent la violation continue du droit humanitaire dans les prisons du régime occupant sioniste, notamment à sedi timan, située dans une base militaire du régime usurpateur sioniste, à 5 kilomètres au nord-ouest de la ville de Bersabée, dans le désert désert du néguev, aux territoires occupés. Un centre de détention qui évoque aujourd'hui des histoires de la célèbre prison de guantanamo.
L'Observatoire euro-méditerranéen des droits de l'homme a souligné que les prisons et les centres de détention du régime criminel sioniste sont devenus des centres plus sanglants que la prison américaine de guantanamo, et divers types de tortures brutales, de mauvais traitements, d'insultes et d'humiliations des prisonniers y sont pratiqués.
Les meurtres, les coups violents, l'enfermement dans des cages, les mains liées et l'alimentation de certains prisonniers avec de la paille ne sont qu'une partie de ce qui se passe derrière les murs de cette base et qui a fuité, tandis que ce qui est encore caché dans cette base est bien plus que ce qui a été révélé.
Récemment, le journal al-arabi al-jadeed a obtenu des preuves qui montrent que parmi les détenus de cette base ou d'autres prisons du régime occupant sioniste, il y a ceux qui, après quelques semaines de libération, sont toujours en traitement en raison des effets de torture et souffrent de problèmes mentaux et physiques.
Ces découvertes, en plus des rapports de sources sionistes, sont la preuve que le journal haaretz a annoncée des cas de mort ou de mort lente et illégale et de toutes sortes de torture dans ce centre de détention, révélés par un médecin du régime usurpateur israélien qui travaille à l'hôpital de campagne de la base sedi timan.
Ce médecin du régime criminel israélien a envoyé une lettre à yoav gallant, ministre de la guerre du régime occupant sioniste et à d'autres responsables concernés, et a mis en garde contre la poursuite des violations illégales dans ce centre de détention.
Récemment, une vidéo a été diffusée sur la chaîne Al-Jazeera, dans laquelle le boxeur palestinien Moaziz Abayat, en très mauvaise condition physique et d'une voix faible, a annoncé:
Mes frères sont martyrisés chaque jour dans la prison du néguev. Nous sommes trois milles prisonniers qui sont battus chaque nuit par les gardiens de prison du régime occupant israélien. Ils ne donnent pas de nourriture. Il n’y a pas de toilettes et il se passe ici des choses auxquelles l’intellect ne croit pas.
En réaction à cette vidéo, le journal algérien Al-Khabar a écrit:
Le monde a hypocritement fermé les yeux sur les événements de génocide et sur le piétinement des droits humains minimaux à Gaza et sur les prisonniers palestiniens. Chaque jour qui passe, une nouvelle histoire terrible sur les crimes du régime illégitime israélien se fait entendre dans les prisons du régime occupant sioniste.
En réaction à l'actualité de cette affaire, le site arabe de la bbc britannique a également écrit que les photos de Moaziz Abayat sur les réseaux sociaux ont soulevé des questions sur ce qui se passe dans les prisons du régime usurpateur israélien.
Asadollah Haroun est l'un des anciens prisonniers de la prison américaine de guantanamo, qui se souvient bien des tortures des centres de détention américains en regardant les photos des palestiniens emprisonnés dans les prisons du régime criminel israélien.
Asadollah Haroun a été arrêté en 2007 et détenu à la prison de guantanamo sans aucune inculpation pendant 16 ans. Selon Asadollah Haroun, les palestiniens actuellement détenus dans les prisons du régime illégitime israélien subissent le même traitement que lui.
Le réseau d'al Jazeera, citant un autre ancien prisonnier de guantanamo, en confirmant la similitude des tortures américaines et du régime occupant israélien, a écrit: Ceux qui ont subi des détentions, des tortures et des abus similaires de la part des forces sous contrôle des américains en Irak et en Afghanistan, sont d'accord avec ces récits.
Moazzam Begg est un défenseur des droits humains qui a été emprisonné sans inculpation à la prison de guantanamo pendant trois ans. Il a également souligné des similitudes entre le comportement des forces américaines et celui du régime criminel israélien. Moazzam Begg a annoncé qu'il existe une similitude évidente, complète et indéniable entre les prisons du régime illégitime israélien et guantanamo dans la manière dont les prisonniers sont traités, déshabillés, maltraités et insultés.
Loui al-Tawil, un prisonnier palestinien qui a passé de nombreuses années dans les prisons du régime usurpateur israélien et a été récemment libéré, en faisant référence aux tortures auxquelles les prisonniers palestiniens sont soumis, a annoncé:
Les prisons du régime occupant israélien sont comme les prisons notoires d’abou ghraib et de guantanamo. Mon transfert dans le néguev, aux territoires occupés a été choquant, les prisonniers qui sont venus ici ont été déshabillés de manière humiliante et sévèrement battus avec des insultes.
Asil al-Titi, une Palestinienne libéré, a également décrit les prisons du régime criminel israélien comme étant similaires à la prison de guantanamo. L'agence de presse al-Alam al-arabi, Citant Asil al-Titi, a écrit:
Nos conditions étaient très malheureuses et inhumaines. Les femmes captives étaient battues et torturées de diverses manières dans les prisons.
Les similitudes entre guantanamo et sedi timan ne s’arrêtent pas au traitement des prisonniers. Ces deux centres de détention justifient leur existence et fournissent une couverture juridique à leurs excès en utilisant des arguments et des récits similaires. Le régime occupant sioniste s’efforce également d’éloigner les médias et les experts juridiques indépendants de ses prisons et centres de détention militaires comme celui de sedi timan.
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