Un autre pas du monde vers l'isolement d’Israël!
(last modified Tue, 22 Oct 2024 15:15:37 GMT )
Oct 22, 2024 15:15 UTC
  • Un autre pas du monde vers l'isolement d’Israël!

Pars Today - Le régime occupant sioniste est non seulement confronté à une augmentation sans précédent des sanctions contre les universités et les centres scientifiques affiliés au régime, mais ces sanctions se sont également étendues aux entreprises occidentales qui avaient l'habitude de coopérer militairement et en matière d'armement avec le régime usurpateur israélien.

Dans un communiqué, Amnesty International a appelé les pays européens à sanctionner le régime criminel sioniste en matière d'armes.

Le communiqué indique que ces sanctions devraient inclure à la fois l'envoi d'armes et d'aides financières dont est nourrie l'industrie d'armes israélienne.

À la suite du déclenchement de la guerre à Gaza juste après l’opération Tempête d'Al-Aqsa le 7 octobre 2023, le régime factice sioniste a commis une série de crimes sans précédent contre la population innocente de Gaza et a déclenché un véritable génocide dans la région en imposant la famine aux Gazaouis. Cela a entraîné un train de sanctions contre le régime génocidaire israélien dans de nombreux pays, de sorte que de nombreuses institutions et pays ont appelé au boycott d'armements du régime illégitime sioniste.

Mais les Etats-Unis, principal soutien et complice de l'entité sioniste, ainsi que quelques pays européens, comme l'Allemagne, ont catégoriquement ignoré cet appel. Il est certain que de nombreux citoyens européens sont fermement opposés au régime usurpateur sioniste. Cela se voit clairement dans les manifestations massives, les rassemblements et les sit-in qui réclament la fin des atrocités israéliennes et le lancement d'opérations d'aide au peuple de la zone palestinienne déchirée par la guerre.

Michael Fakhri, le rapporteur spécial des Nations Unies sur le droit à l’alimentation, a déclaré à la mi-juin 2024 : « Ce dont nous avons besoin maintenant, c’est d’appliquer des sanctions économiques et politiques contre Israël.»

L’accent mis par Michael Fakhri sur la nécessité d’un boycott économique et politique du régime criminel israélien est le résultat de l’inefficacité des pressions politiques et de l’ignorance aux appels répétés lancés à Tel-Aviv pour qu’il mette fin à la guerre dévastatrice dans la région.

Il convient de noter que même certains pays européens ont pensé à revoir leur coopération en matière d’armements avec le régime de Tel Aviv.

Reuters, citant deux sources bien informées, a rapporté que Paris avait interdit Israël de stand au salon de Défense Euronaval 2024.

Pourtant, d’autres alliés européens, notamment l’Allemagne et l'Angleterre, ont obstinément continué à soutenir Israël en lui envoyant des armes et même en défendant les crimes horribles du régime usurpateur israélien à Gaza, en particulier les meurtres massives de civils.

Dans ce contexte, le discours prononcé au Bundestag par la ministre allemande des Affaires étrangères Annalena Baerbock le 10 octobre, à l'occasion du premier anniversaire de la guerre génocidaire du régime colonial sioniste à Gaza a suscité de nombreuses réactions.

Lors de son discours, Annalena Baerbock a allégué que les combattants du Hamas se cachaient parmi les civils et dans les écoles, ajoutant : « Se défendre signifie certainement anéantir les terroristes et pas seulement les attaquer. »

Francesca Albanese, la rapporteuse spéciale des Nations Unies pour les territoires palestiniens, a condamné les propos de la ministre allemande des Affaires étrangères le 15 octobre et a mis en garde contre les conséquences juridiques du soutien à un régime qui commet des crimes internationaux.

De plus, alors que plus de 100 conseils du travail musulmans en Angleterre ont envoyé une lettre au premier ministre britannique Keir Starmer pour demander à Londres de cesser complètement et immédiatement de fournir des armes au régime illégitime sioniste, le 10 Downing Street persiste à continuer son aide militaire à Israël.

Néanmoins, la monde paraît tendre mondiale va dans la direction opposée, vers une intensification des sanctions contre le régime occupant israélien.

Depuis le début de la guerre du régime usurpateur israélien à Gaza après l’opération Tempête al-Aqsa le 7 octobre 2023, le mouvement des sanctions contre le régime criminel sioniste a considérablement changé. L’opération et la guerre de Gaza ont contribué à concrétiser certains des objectifs du mouvement et des entreprises soutenant la Palestine, selon le Wall Street Journal. 

Boycott, désinvestissement et sanctions (BDS) est le nom de la campagne internationale de pression sur le régime sioniste. Le mouvement a été créé en 2005 avec le soutien de 171 Palestiniens et a attiré de nombreux sympathisants du monde entier, notamment d'Europe et des États-Unis.  Pour ce qui concerne le mouvement, le premier ministre du régime d'occupation sioniste, Benjamin Netanyahu, a annoncé qu'il visait à anéantir Israël. 

Aujourd’hui, alors qu’un an s’est écoulé depuis la guerre à Gaza et que les sanctions contre Israël se sont intensifiées dans divers domaines, même dans les pays occidentaux, notamment en Europe, aux

États-Unis et au Canada, on peut dire que l’intensification des boycotts anti-israéliens est devenue un cauchemar pour les dirigeants de ce régime illégitime.

Mots clés : régime usurpateur sioniste, sanction contre le régime colonial israélien, Tempête d'Al-Aqsa, Amnesty International

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