Le sionisme chrétien a écrasé l'Allemagne
Au sommaire : 1- COVIran Barkat : le Leader se fait vacciner
Le Leader de la Révolution islamique, l’Ayatollah Seyyed Ali Khamenei, a reçu sa première dose d’un vaccin contre le Coronavirus produit localement par les scientifiques iraniens.
Vendredi matin, l’Ayatollah Khamenei a reçu sa première dose du vaccin CovIran Barkat, produit pour une application massive d’urgence par le ministère de la Santé du pays au début du mois. Après avoir reçu le vaccin, le Leader a remercié tous ceux qui ont participé au développement du vaccin local.
L’Ayatollah Khamenei a remercié l’équipe des chercheurs ainsi que le ministère de la Santé. Il s’est dit reconnaissant envers tous ceux qui ont déployé leurs connaissances, leurs expériences et leurs efforts scientifiques et pratiques pour procurer au pays cette grande et prestigieuse possibilité, à savoir le vaccin contre la Covid-19.
« Je tiens à remercier Monsieur le Dr Namaki, l’honorable ministre de la Santé, l’ensemble du corps médical et sanitaire, et tous ceux qui ont participé à cette entreprise. Je remercie le monsieur Dr Mokhber pour son travail acharné et ses efforts. (...) Je remercie également sincèrement, Monsieur le Dr Marandi et Monsieur le Dr Sadjadi, pour leur souci de ma santé, et j’espère que, si Dieu le veut, tous les efforts de ces messieurs seront couronnés de succès. »
Le Leader de la Révolution islamique a de même précisé : « Il est très important de louer cette réalisation nationale. Bien sûr, il se peut que les vaccins étrangers soient nécessaires et utilisés en plus du vaccin national. Il n’y a pas de problème et je suis d’accord avec cela, mais en fin de compte, nous devons préférer le vaccin iranien, apprécier les efforts que les scientifiques ont déployés, et tenir en haute estime les scientifiques dont M. Mokhber a bénéficié. Ces scientifiques sont souvent des jeunes, travailleurs et actifs, qui ont travaillé dur pour parvenir à ce résultat. Nous devons également remercier les autres centres impliqués dans cette entreprise, qui travaillent également à la fabrication du vaccin, à différentes phases. C’est la première raison pour laquelle je n’ai pas été vacciné jusqu’à présent. Deuxièmement, j’ai dit que je serais prêt à me faire vacciner quand ce sera naturellement mon tour de le faire conformément aux critères du pays. Eh bien, la plupart des personnes de ma tranche d’âge – les personnes de plus de 80 ans – ont été vaccinées, mais certaines ne l’ont peut-être pas encore été. J’ai dit que je me ferais vacciner quand ces gens le feraient. C’est pourquoi il y a eu un retard jusqu’à aujourd’hui. Ils ont vraiment travaillé dur et maintenant on a procédé à l’injection du vaccin. J’espère que tout se passera de la meilleure façon possible avec la meilleure santé. »
2- Israël s’avance encore en terre allemande !
Le Bundestag (chambre basse du Parlement allemand) a adopté une série de textes approuvée par « l’Union chrétienne-démocrate (CDU) », « l’Union chrétienne-sociale (CSU) » et le « Parti social-démocrate (SPD) » qui composent le gouvernement de coalition en Allemagne, rapporte le correspondant de l’Agence Anadolu.
Parmi les lois votées par le Parlement figure l’interdiction d’utiliser des drapeaux et symboles du « Hamas » sur le sol allemand.
Selon l’article 86, l’inscription d’une organisation sur la liste terroriste de l’Union européenne suffira désormais à interdire le drapeau et les symboles de cette organisation en Allemagne.
Des drapeaux et des symboles du Hamas ont été hissés récemment à plus grande échelle en Allemagne, lors de manifestations anti-israéliennes.
« Manifester pacifiquement contre la politique du gouvernement israélien est une chose. Et c’est autorisé dans un État démocratique comme l’Allemagne. Mais s’en prendre aux juifs ou aux symboles du judaïsme en Allemagne, cela est intolérable. » Voici en résumé la position du gouvernement Merkel, exprimée par son porte-parole, Steffen Seibert, à l’issue d’une série de manifestations pro palestinienne en Allemagne.
Selon le site web www.dw.co qui se trouve à l’origine de cette information, « le pays et certains politiciens choqués par ces manifestations pro-palestiniennes ont réclamé un durcissement des sanctions », la source avouant que « la recrudescence de la violence au Proche-Orient trouve un écho dans les rues d’Allemagne ».
Comment se fait-il que ces politiciens, admettons, allemands qui éprouvent un tel degré d’empathie pour le peuple juif au point qu’ils cherchent à rendre illicite les manifestations pacifiques pro-palestiniennes sur le sol allemand demeurent « bouche cousue » devant les crimes perpétrés par le régime d’apartheid sioniste à l’encontre d’un peuple autochtone dont le seul péché est de vouloir vivre avec dignité sur les terres de leurs aïeuls.
Pour l’auteur de ces quelques lignes, il faut remontrer dans le temps pour expliquer cette contradiction et la clé de cette problématique a été glissée sous le terme « judéo-chrétien », une notion inventée au début du XIXe siècle et qui a été instrumentalisée à dessein et à volonté politiquement parlant partout dans le monde à commencer par la France et l’Allemagne.
Ce « bébé Gargantua borgne » qui a suscité la pitié de toute l’humanité dès sa naissance du fait de sa déformation génétique et qui a été exploité par le sionisme charlatan et mendiant dans sa politique de victimisation, est devenu au fil du temps « un Gargantua glouton » qui met tout ce qui se passe sous sa main à la bouche et se prénomme « Christian Zionism ».
« Le sionisme chrétien » selon Wikipedia, est le nom donné au courant du christianisme évangélique selon lequel la création d’Israël en 1948 est en accord avec les prophéties bibliques et prépare le retour de Jésus comme Christ en gloire de l’Apocalypse.
Le terme « judéo-chrétien » a porté en son sein l’antéchrist. Dire que « l’Union chrétienne-démocrate (CDU) », « l’Union chrétienne-sociale (CSU) » aient voté cette loi fait rire plus d’un à moins d’être crétins.
Avec Anadolou
3- La Russie frappera l’OTAN en Syrie ?
La Russie a lancé ce vendredi des exercices navals et aériens en Méditerranée orientale. En déployant des frégates et des sous-marins, dont certains sont équipés de missiles de croisière Kalibr, l’armée russe indique vouloir tester son équipement dans des conditions climatiques complexes et travailler la défense de ses deux bases en Syrie, celles de Tartous et de Hmeimim. C’est sur cette dernière qu’ont été transférés deux avions de chasse MiG-31K capables de lancer des missiles hypersoniques Kinjal.
Ces manœuvres débutent dans un contexte de regain de tensions avec l’OTAN. Mercredi, le destroyer britannique HMS Defender a pénétré dans les eaux territoriales de la Russie au large de la Crimée, essuyant, selon Moscou, des tirs de semonce, ce que Londres dément. Dénonçant une « provocation », la diplomatie russe a adressé une mise en garde à l’OTAN en déclarant que l’activité de celle-ci mettait en question la pertinence de l’Acte fondateur entre l’Alliance et Moscou.
En lançant des exercices en Méditerranée orientale, la Russie semble aussi envoyer un signal aux États-Unis et leurs alliés, réaffirmant sa présence dans cette zone attentivement surveillée. Depuis juin, le porte-avions dernier cri de la Royal Navy, le HMS Queen Elizabeth, accompagné d’une flotte de navires de guerre, est déployé dans le secteur. Selon son commandant, Steve Moorhouse, ce bâtiment de 65 000 tonnes participe à des opérations contre ce qui reste de Daech* en Irak.
S’exprimant cette semaine depuis le porte-avions, il a évoqué l’activité aérienne et navale russe dans la région. « Vous avez simplement d’autres personnes dans les parages qui jouent dans ce qui est un morceau fixe d’eau et d’espace aérien. […] Il est donc absolument prévu que nous nous croisions », affirmait-il.
Le HMS Defender à l’origine de l’incident au large de la Crimée, lui aussi faisait partie de ce groupe naval avant d’être envoyé en mer Noire. À ses côtés se trouvait également le destroyer lance-missiles USS Laboon qui a quitté ce vendredi la région pour mettre le cap sur la Méditerranée après avoir « accordé son soutien aux alliés de l’OTAN et ses partenaires en mer Noire ».
Source : Sputnik
4- John McAfee exécuté
Intervenant à la suite d’une centaine de morts fort suspectes ces deux derniers mois, l’exécution de John McAfee dans sa cellule à Barcelone par des tueurs agissant pour le compte de la CIA après qu’une cour de justice espagnole ait approuvé son extradition aux États-Unis sur pression marque un tournant marquant dans la terrible répression qui s’abat sur toutes celles et ceux qui s’opposent à l’État profond transnational.
Recherché sur la base d’accusations politiques (évasion fiscale et crimes financiers), John McAfee était l’une des rares personnes à avoir défié publiquement l’ensemble de la communauté du renseignement US. Il a été le pionnier de l’antivirus, défenseur des crypto-monnaies et ancien candidat libertaire à la présidence des États-Unis. Les autorités locales ont affirmé que la mort de l’homme de 75 ans « ressemble à un suicide ».
Le 30 novembre 2019, McAfee avait tweeté : « Je reçois des messages subtils de responsables américains qui disent, en fait : “Nous venons pour vous McAfee ! Nous allons te tuer”. Je me suis fait tatouer aujourd’hui, juste au cas où : “Si je me suicide, je ne l’ai pas fait. On m’a buté”. Regardez mon bras droit ». Une photo accompagnant le tatouage montrait un tatouage sur le bras de McAfee intitulé « WHACKD » (de « whacked », « flingué » ou « buté » en argot anglais, NdT), une crypto-monnaie que McAfee avait lancée pour attirer l’attention sur le « suicide » de Jeffrey Epstein en prison plus tôt cette année-là.
Source : reseauinternational.net
MO : la Chine va remplacer les USA ?
La Chine remplacera-t-elle au Moyen-Orient une Amérique encore militairement dominante ? La Chine, elle, a choisi l’économie et de forts partenariats avec certains États stratégiques pour construire ses nouvelles routes de la soie. Analyse en carte.
La Chine observe le retrait militaire américain du Moyen-Orient qui se poursuit progressivement. En effet, en plus du rapatriement de tous ses GI’s d’Afghanistan avant le 11 septembre 2021, Washington a commencé début juin, à retirer ses batteries et un bouclier antimissile d’Arabie Saoudite. Une information confirmée par l’administration Biden le 21 juin. Le remplacement de l’Amérique par la Chine dans la région est-il pour demain ?
Pour l’heure, la menace militaire chinoise est largement contenue par Washington. Le remplacement est encore loin : les États-Unis conserveront en effet de nombreuses installations militaires en Arabie Saoudite, aux Émirats arabes unis, au Qatar, au Koweït, etc. La force militaire régionale de la Chine ne fait pas d’elle un rival pour les États-Unis, puisqu’elle ne dispose actuellement que d’une base à Djibouti.
En revanche, Pékin assoit sa domination régionale par les échanges économiques et ses investissements. Ces derniers lui permettent notamment de construire ses Nouvelles Routes de la Soie.
Source : reseauinternational.net