Jun 01, 2021 02:56 UTC

La Chine a investi entre le 10 et le 21 mai le devant de la scène politique moyen-orientale, à travers trois tentatives de résolution visant à condamner Israël.

Pour la première fois, la Chine se livre à un exercice inouï, celui de prendre parti sans égard à ses retombées économiques. Plus d'un analyste irait jusqu'à voir là, un écho de la montée en puissance de l'axe de la Résistance : aussi bien en Syrie où la Chine a été le premier pays à avoir félicité Assad pour son quatrième mandat de sept ans à la tête de l'État, qu'au Liban où Pékin attend patiemment son heure en multipliant les gestes de bonne volonté à l'adresse du Hezbollah, la Chine de Xi ne semble pas intéressé par la "neutralité".

Voici l'analyse de Luc Michel, géopoliticien sur ce sujet.

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