Ansarallah a frappé fort
(last modified Mon, 24 Jan 2022 18:58:14 GMT )
Jan 24, 2022 18:58 UTC

A peine une semaine après la tonitruante "Hurricane yéménite" qui a soufflé sur Abou Dhabi puis Dubaï où une nuée de 20 drones "Samad-3" et une salve parfaitement synchronisée de quatre missiles de croisière Qods-2 et d’un missile balistique de type Zolfaghar ont visé tour à tour et au terme d’un trajet de quelque 1700 km, de vastes réservoirs de pétrole de la zone ICAD III de la méga cité pétro-industrielle de Mussafah,

puis les hangars d’avions à l’aéroport d’Abou Dhabi avant de se diriger droit vers l’aéroport de Dubaï pour y bousiller une piste d'atterrissage, Ansarallah a frappé encore et il a frappé plus fort : ce lundi 24 janvier à l’aube, la capitale émiratie qui se trouve en alerte maximale, a été à nouveau la cible d’une vaste attaque aux drones et aux missiles que l’épaisse couche de DCA américano-russe des Zayed ont échoué à contrer.

Selon des images qui envahissent la toile depuis quelques heures, des missiles se seraient abattus sur des cibles à la fois infrastructurelles comme le 17 janvier, mais aussi et c’est cela ce qui est parfaitement nouveau, des cibles militaires. 


Comment peut-on analyser cette situation ?

Bernard Cornut, politologue s'exprime sur le sujet.

 

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