Pars Today
Des sources locales ont fait état d'attaques d'artillerie de l'armée israélienne contre le sud de la bande de Gaza.
Les habitants du gouvernorat de Saada au Yémen ont organisé un rassemblement massif pour exprimer leur solidarité avec les Palestiniens dans la bande de Gaza.
Alors que les tensions s’exacerbent à la frontière entre le Liban et la Palestine occupée, le Hezbollah libanaise a lancé une novelle attaque de représailles contre des positions militaires du régime sioniste dans les fermes de Chebaa.
« Le cabinet de Netanyahu doit assumer ses responsabilités et démissionner », a déclaré Avigdor Liberman, chef du parti d'extrême droite "Israël Beitenou".
L'Office de secours et de travaux des Nations unies (UNRWA) a averti que l'étau de la famine « provoquée par l'homme » se resserre dans la bande de Gaza déchirée par la guerre, alors qu'Israël a sévèrement bloqué le territoire palestinien, le plongeant dans une crise humanitaire.
Le ministre iranien des Affaires étrangères a déclaré que Téhéran avait tenu Washington au courant de son intention de mener des frappes contre Israël en représailles à l'attaque terroriste du régime d’occupation contre les locaux diplomatiques du pays en Syrie.
Le Hezbollah a réalisé le mercredi 17 avril une attaque au drone contre un site militaire dans le village bédouin d’Arab al-Aramshe, situé au nord de la Palestine occupée, tuant et blessant plusieurs soldats israéliens. Les médias israéliens ont qualifié la récente frappe au drone du Hezbollah de grave, déclarant qu’il était question d’un incident des plus dangereux depuis le début de la guerre.
Dans le cadre de son génocide en cours, l'armée israélienne utilise des tactiques malsaines pour faire peu aux palestiniens avant de leur tirer dessus et cela se passe notamment dans le camp de réfugiés de Nuseirat qui est situé au centre de la bande de Gaza.
Le ministre turc des Affaires étrangères, Hakan Fidan, a rencontré le chef du bureau politique du Hamas, Ismaïl Haniyeh, pendant une visite à Daha, capitale du Qatar, dans la journée du mardi 16 avril.
La police a arrêté neuf employés de Google dans les bureaux du géant de la technologie à New York et à Sunnyvale, en Californie, après avoir organisé un sit-in pour protester contre le récent accord d’un milliard de dollars conclu par l’entreprise avec le régime israélien.