Iran: l'OTAN perd une 1ère bataille!
Qu’est-ce qui pourrait bien avoir poussé le ministre sioniste de la Guerre à se rendre en urgence à Bakou rencontrer en tête-à-tête Aliyef d’une part et son commandant des gardes-frontières de l’autre ?
Abrégeons : le scénario « PEJAK » (PKK iranien) concocté contre la sécurité nationale iranienne sur base du décès d’une jeune iranienne d’origine kurde, Mahsa Amini, scénario qui aurait dû déboucher, suivant les plans des scénaristes, sur l’offensive terrestre des terroristes pro Israël nichés en Kurdistan irakien s’est soldé par un échec puissance mille et la pléthore des scénaristes se démènent pour trouver un plan B. Depuis 10 jours des repaires, des garnisons des camps d’entrainement des terroristes kurdes se trouvent sous le puissant feu hybride du CGRI qui leur lance drones-Missile-artilleries -raids hélicos et ce, de façon à les enrayer carrément de la carte.
Une précision de 99 pc pour 43 cibles cela veut dire la fin du volet « kurde » du complot. Mais est-ce fini ? La visite précipitée de Gantz à Bakou et ces avions bourrés d’armes qui continuent depuis un mois d’atterrir en provenance de la Turquie et d’Israël nous convaincre du contraire. Au fait il semblerait que l’Article 5 se tourne désormais vers le nord-ouest iranien où le Sorosien Pachiniyan et l’Atlantiste Aliyev ont déjà commencé un numéro visant à couper la prolongation eurasienne de l’Iran par occupation de la ville de Syunik interposée.
Mais l’axe US/Israël/OTAN va-t-il gagner à Bakou ce qu’il a perdu à Erbil ?
Peu après que le gourou Gantz, eu rencontré ce lundi 3 octobre à Bakou, Ilham Aliyev puis son ministre de la Défense, ce dernier s’est fait très lourdement rappelé a l’ordre. Le chef d'état-major des forces armées iraniennes, le général de division Mohammad Baqeri, a exhorté l'Azerbaïdjan et l'Arménie à résoudre leur différend frontalier par des moyens pacifiques. Le général de division Baqeri a fait cette remarque lors d'un appel téléphonique lundi avec le ministre azerbaïdjanais de la Défense, le colonel général Zakir Hasanov, au milieu d'une recrudescence continue des hostilités faisant des victimes des deux côtés. Ils ont discuté des derniers développements du différend et ont souligné l'importance d'apaiser les tensions par le dialogue.
Le président des chefs d'état-major des forces armées iraniennes a déclaré que le différend en cours entre l'Arménie et l'Azerbaïdjan sur la région du Haut-Karabakh devrait être réglé par des voies pacifiques un point c’est tout. Ou ce qui revient au même si Bakou tente de jour dans le terrain otano sioniste, il connaîtra le même sort que le Kurdistan irakien. Et Qu’il ne compte surtout pas sur les Américains ou les Otaniens ou les Sioinistes pour le tirer d’affaire. Car en dix jours d’attaques continues des forces iraniennes contre le Kurdistan irakien, et bien que des Américains se fassent tuer sous le barrage du feu, l’Amérique n’a même pas levé le petit doigt se contentant seulement d’inventer une histoire de « F-15 US qui aurait abattu un Mohajer-6 ».
Pour la petite histoire, c’est Avia.pro, site proche de la défense russe qui nous apprend où en est très exactement l’équilibre de la force entre l’Iran d’une part et les acolytes Us de l’autre : « La Turquie a interdit à l'Iran de fournir des drones kamikazes SHAHED-136 à l'Arménie.
Après l'utilisation réussie des drones d'attaque SHAHED-136 contre l'armée ukrainienne, les politiciens turcs ont publié une déclaration interdisant la fourniture de ce type de drones kamikazes à Erevan. Selon toute vraisemblance, ce fait indique que l'Arménie et l'Iran négocient un contrat pour la fourniture de tels avions. L'avertissement lancé par les politiciens turcs suscite une très vive inquiétude, car les tentatives de la Turquie d'empêcher le flux d'armes de haute technologie vers l'Arménie pourraient indiquer qu'Ankara et Bakou se préparent à un nouveau conflit armé, et qu’ils ont peur des Shahed-136 iraniens qui ont fait preuve d'une grande efficacité en Ukraine… »
Ni Harop ni Bayraktar ne sauront sauver l’OTAN des foudres iraniennes. …