Comment l'Iran l'emporte-il sur le triple anglo-américano-israélien dans la guerre des pétroliers ?
Au milieu de la guerre silencieuse des pétroliers, dont l’un des côtés était l’Iran et l’autre les trois alliés Washington-Londres-Tel Aviv, Téhéran a réussi à vaincre ses ennemis et à afficher ainsi sa puissance de dissuasion dans les eaux internationales. .
Pars Today - En eaux libres, une bataille silencieuse et décisive se déroulait entre l'Iran et le régime Israël, il s’agit d’une bataille dont la cible principale était les pétroliers transportant de l’or noir iranien. A la suite des attaques secrètes du régime criminel sioniste contre les tankers iraniens, Téhéran est en pratique entré dans une guerre maritime officieuse et clandestine ; la guerre qui a finalement levé du voile sur une grande dissuasion de l’Iran dans l’arène internationale.
Imaginez qu’en pleine eaux libres, les pétroliers géants qui transportent le pétrole iranien, se déplacent lentement, sans savoir qu’ils sont ciblés par l’ennemi caché. Soudainement, ces navires ont été mystérieusement ciblés l'un après l'autre. 14 navires pétroliers iraniens ont été visés et au début personne ne sait ce que se cache derrière ces mystérieuses attaques. Mais le Corps des Gardiens de la Révolution Islamique (CGRI) d'Iran passe rapidement à l’action pour identifier les auteurs des frappes maritimes.
En fin de compte, le CGRI dévoile enfin le secret : le régime de Tel Aviv est derrière les attaques visant les pétroliers iraniens. Il se sert des tactiques complexes et mystérieuses, visant à empêcher l’exportation du pétrole iranien et même de mettre l’Iran dans une situation économique difficile. Mais ce n’est là qu’une partie de l’histoire et, d’un autre côté, il convient de mentionner la réaction rapide et décisive de l’Iran.
La première réponse du CGRI à ces attaques a été de tirer sur les pétroliers appartenant au régime d'occupation israélien. Les tankers israéliens ont été visés, les uns après les autres. Mais le moment fatidique est venu, lorsque l’Iran a pris pour cible le cinquième pétrolier israélien. À ce stade, le jeu changé. Les sionistes qui ont rapidement pris conscience de la puissance de contre-attaque de la marine iranienne, ont commencé à battre en retraite et ont fini par annoncer l'arrêt de la guerre des pétroliers.
Mais l’histoire ne s’arrête pas là. Au milieu de ces batailles navales, des sources d’informations ont fait état de la saisie d'un des pétroliers iraniens à Gibraltar par les Britanniques.
Par contre, Téhéran a également répondu en temps opportun à l'acte hostile de Londres ; le Stena Impero, propriété britannique, a été saisi par l'Iran.
Juste après les représailles iraniennes, les Britanniques ont été contraints de libérer le pétrolier iranien.
Un scénario similaire a été réalisé par l’Occident en Grèce : deux tankers iraniens ont été saisis en Grèce. En représailles, la RII a saisi deux navires grecs. Et la partie occidentale a une fois de plus été contrainte de faire machine arrière.
Mais l’un des moments les plus sensibles de ces conflits navals aurait été le moment où les Etats-Unis ont menacé de saisir les pétroliers iraniens qui se dirigeaient vers le Venezuela. Le général de division Hossein Salami, le commandant en chef du CGRI et le contre-amiral Alireza Tangsiri, le commandant de la force navale du CGRI ont été en personne entrés sur la scène.
Ils ont conçu une opération simulée pour capturer un pétrolier américain. Puis ils ont annoncé à la radio maritime qu'ils étaient prêts à s'emparer des pétroliers américains.
En conséquence, les Américains, étant sûrs du sérieux de l'Iran et de sa disponibilité pour mettre à pratiquer leur menace, ont abandonné leur dessein et les pétroliers iraniens ont atteint leur destination en toute sécurité.
Les événements mentionnés n’étaient qu'une partie d'une bataille plus vaste, la bataille au cours de laquelle l’Iran a tenu tête aux menaces implicites et explicites de ses ennemis et a réussi à garantir la sécurité de ses lignes maritimes avec vigilance et persévérance.
Une histoire qui a montré que les mers peuvent aussi être un champ de bataille silencieux ; Mais dans ces batailles, la détermination et la persévérance déterminent l’issue de la guerre.
Selon Pars Today, le récit mentionné ci-dessus est extrait du discours du commandant en chef du CGRI, le général de division Hossein Salami, fait lors de la réunion du président Massoud Pezeshkian avec les commandants du quartier général Khatam-ol-Anbiya. Lors de cette cérémonie, le plus haut gradé du CGRI a éclairci les défis et les batailles de l'Iran ces dernières années, notamment la guerre des pétroliers et les efforts déployés pour neutraliser les sanctions et aux menaces proférés par les Etats-Unis et ses alliés israélo-britannique.
Mots clés : bataille navale, guerre des pétroliers, allié américano-anglo-israélien, le Golfe Persique
