Kim prépare la guerre US/Chine
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(last modified 2022-11-15T19:29:25+00:00 )
Sep 11, 2022 19:25 UTC

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1-Le Royaume bientôt désuni...

Et si on commençait par cette question qui nous taraude depuis la mort de la reine mère : Liz Truss a-t-elle apporté le malheur par sa présence à Sa Majesté ? Blague à part, comment se fait-il que Poutine reste en vie malgré sa santé fragile et grâce aux « piqûres » qu’on lui administre quotidiennement, mais pas Elizabeth II ?

C’est bien vrai qu’un jour ou l’autre il faut quitter ce monde terrestre et personne n’échappera à la règle, comme le disait l’autre jour un animateur de radio citant le leader de « La France insoumise », « nous sommes tous mortels et avec l’âge la probabilité augmente : Mais la mort d’une mère reste tout de même et à jamais un drame pour sa famille ».

Néanmoins, avec la mort d’Elizabeth II, un nouveau chapitre s’ouvrira pour son fils Charles, le prince de Galles, mais la mort de sa mère lui servira de leçon, l’avenir dira la suite…

De tout ce qui vient d’être dit sort une seconde question que l’on peut légitimement se poser:  si oui ou non Charles III, qui « vieillit à vue d’œil », aura la sagesse d’utiliser -le peu -de temps qu’il lui reste à vivre pour gommer ses erreurs du passé et éviter de la sorte de continuer à sacrifier ses sujets sur l’autel des sionistes, ceux-là mêmes qui sont entrés secrètement et progressivement au cœur de « la City » en profitant malicieusement de la guerre de Waterloo, ces « opportunistes historiques » qui se sont rebellées contre l’ordre divin de notre univers.

Les fins connaisseurs de l’époque médiévale savent très bien de quoi nous parlons, surtout ceux qui s’intéressent beaucoup à celle de la France, et ces passionnés de l’émission radio « au cœur de l’histoire » se souviendront toujours de l’opposition exprimée par les Cathares contre l’autorité de l’Église de Rome dans la seconde moitié du XIIe siècle, ces Cathares dont le seul péché était de vivre selon les préceptes enseignés par Jésus, fils de Marie et ses disciples, ces Cathares qui se considéraient légitimement en tant que « les bons chrétiens  » et contre qui l’Église de Rome, sous l’emprise du sionisme naissant, « mena » une répression sanglante avant de les brûler vifs. 

De notre réflexion naît une troisième question : après la mort d’Elizabeth II : Australie, Canada ou Jamaïque, les pays du Commonwealth auront-ils une volonté d’indépendance ? Cette dernière vient du site sudouest.fr aux tendances anticonstitutionnelles et séparatistes qui lui sont familières, tendances que cette radio perpétue via ses ondes et qui resteront à jamais dans le temps et l’espace en Occitanie et surtout en Languedoc tant que la terre va tourner autour d’elle. Une émission très instructive dont les échos touchent aussi l’Espagne et les pays voisins et vice versa,

Tout cela pour dire que Vladimir Poutine, en bon chrétien, vient d’écrire une lettre de condoléances au Roi Charles III exprimant son chagrin à la mort de sa mère : Le Président de Russie, Vladimir Poutine, a écrit au roi Charles III pour lui offrir « sincère sympathie » après la mort de la reine. Et ce « Malgré les tensions liées à la guerre en Ukraine, Poutine a tendu la main au roi Charles III dans un télégramme. » Selon une source occidentale.  « Votre Majesté, veuillez accepter nos plus sincères condoléances pour le décès de la reine Elizabeth II », a-t-il écrit.  Poutine poursuit : « Les événements les plus importants de l’histoire récente du Royaume-Uni sont inextricablement liés au nom de Sa Majesté.

« Pendant de nombreuses décennies, Elizabeth II a légitimement bénéficié de l’amour et du respect de ses sujets, ainsi que de l’autorité sur la scène mondiale », écrit Poutine. D’autant plus que le roi Charles III est également le chef d’État de quinze pays du Commonwealth, dont le Canada, l’Australie et la Jamaïque. Mais certains de ces royaumes rêvent d’indépendance et de république.

Pour rappel, la reine Elizabeth II a décidé en 2018 de passer les rênes du Commonwealth à son fils Charles, prince de Galles. Parmi les 54 nations du Commonwealth, il y a 15 royaumes dans lesquels le souverain britannique est chef d’État, dont certains pays pourraient saisir le moment de la transition entre la mort de la reine Elizabeth II et l’intronisation du roi Charles III pour engager une réflexion sur leur indépendance ou avancer leur velléité de transformation en république.

Les Caraïbes bien décidées          

Or, c’est dans les Caraïbes que le souffle indépendantiste s’affirme de plus en plus ces dernières années. L’île de la Barbade était un royaume du Commonwealth jusqu’à décembre 2021, date à laquelle elle est officiellement devenue une république. Cette indépendance est une revendication de plusieurs mouvements caraïbéens qui exigent « des excuses et des réparations pour l’esclavage britannique ».

Saint-Vincent-et-les Grenadines s’interroge, mais la Jamaïque a déjà entamé des travaux de rédaction d’une nouvelle constitution : le gouvernement de Princeton affirme que la Jamaïque désignera son propre chef d’État d’ici 2025 et que « son processus de transition vers une république a officiellement commencé ».

Australie et Nouvelle-Zélande y croient

En 1999, le référendum en Australie sur la transformation de la monarchie en république s’est soldé par un échec : 54,9 % des votants se positionnant contre ce bouleversement.

Le débat s’est poursuivi jusqu’à la nomination en juin 2022 de Matt Thistlethwaite, un ancien militant républicain, en tant que ministre adjoint de la Défense en charge de la République, pour aider à superviser la transition potentielle du pays. Dans l’opinion, seulement un tiers des Australiens restent convaincus par l’indépendance.

En Nouvelle-Zélande, « la fin du règne du monarque actuel serait un bon moment pour débattre de nos dispositions constitutionnelles. Voulons-nous toujours que notre chef d’État vive à Londres ? Ou voulons-nous faire autre chose ? », s’interrogeait l’ancien Premier ministre Andrew Little en 2016.

La Première ministre actuelle Jacinda Ardern a déjà exprimé publiquement que la Nouvelle-Zélande deviendrait une république, mais qu’elle n’avait « jamais ressenti l’urgence » du public. Le gouvernement ne traite pas ce sujet comme une priorité, mais cela pourrait rapidement changer étant donné les circonstances.

Canada, manque de soutien

« Le dicton » La reine est morte, vive le roi ! » s’applique ici comme au Royaume-Uni » explique un constitutionnaliste canadien. Mais un sondage d’avril 2022 montrait que la moitié des Canadiens (51 %) estimaient que le Canada ne doit pas rester une monarchie dans les générations à venir. Au Québec, cet appui à la fin de la monarchie monte même à 71 %.

Un précédent sondage d’Angus Reid, réalisé en novembre 2021, montrait que 55 % des Canadiens soutenaient la place du Canada dans la monarchie avec la reine Elizabeth II, mais que cela tombait à 34 % pour son successeur, Charles, le nouveau roi du Canada.

2-Kim prépare la guerre USA/Chine 

La République populaire démocratique de Corée affirme une doctrine de guerre nucléaire préventive

La République populaire démocratique de Corée vient d’adopter une loi-cadre définissant cinq cas dans lesquels ce pays serait amené à utiliser de manière systématique son armement nucléaire.

Pyongyang adopte la notion de guerre nucléaire préventive « automatiquement » et dans un délai immédiat pour éliminer des forces adverses hostiles susceptibles de menacer l’arsenal nucléaire du pays, ses dirigeants et sa chaîne de commandement.

Selon cette loi, le gouvernement nord-coréen peut utiliser l’arme nucléaire pour abréger un conflit conventionnel qui risque de s’étendre dans le temps et user le potentiel défensif et économique du pays. Ce scénario est directement inspiré par la guerre en Ukraine.

Pyongyang s’engage à ne jamais utiliser l’arme nucléaire contre une puissance non nucléaire sauf si celle-ci s’allie avec une puissance nucléaire pour menacer d’anéantir le potentiel de défense du pays.

Selon cette nouvelle loi valant doctrine d’usage de la dissuasion nucléaire, il est totalement exclu pour Pyongyang de renoncer à l’arme nucléaire et toute demande de dénucléarisation ou de négociations sur une éventuelle dénucléarisation ou désarmement nucléaire équivaut à une menace contre l’arsenal nucléaire du pays et donc un justificatif suffisant pour lancer une guerre nucléaire préventive contre les initiateurs de ces demandes.

Cette loi met fin à toute tentative de négociations sur un éventuel désarmement nucléaire nord-coréen que Pyongyang estime non seulement comme une question dépassée par la réalité, mais désormais un casus belli.

Les dirigeants nord-coréens ont exclu d’un trait de plume l’ensemble du corpus sur lequel se basait Washington dans son approche avec la République populaire démocratique de Corée.

Après la publication de cette doctrine, il n’est pas exclu que Pyongyang reprenne ses essais nucléaires en dépit des menaces de Washington et de ses alliés dans la région Asie-Pacifique. Des observateurs s’attendaient d’ailleurs à une réaction nord-coréenne suite à ces menaces qui laissaient entendre que les États-Unis et ses alliés attaqueraient militairement la République populaire démocratique de Corée si elle venait à effecteur un septième essai nucléaire sur son propre territoire.

L’arsenal nucléaire réel de la République populaire démocratique de Corée demeure un secret bien gardé. Une estimation établie initialement en 2018 évalue cet arsenal à plus de 70 ogives opérationnelles, mais la majorité des analystes estiment qu’il est quasiment impossible de quantifier le nombre exact d’ogives nucléaires ou thermonucléaires produites par ce pays reclus d’Asie du Nord-est. Il n’est pas exclu que le rythme de production d’ogives nucléaires suive le même rythme que celui du Pakistan, pays le plus prolifique au monde en la matière en dehors des trois premières puissances nucléaires déclarées (USA : renouvellement, miniaturisation et augmentation du nombre d’ogives ; Russie : augmentation du nombre d’ogives opérationnelles ; Chine : révolution silencieuse de l’arsenal nucléaire).

La République populaire démocratique de Corée a normalisé ses relations avec la Chine et la Russie à la faveur de la guerre en Ukraine. Les sanctions occidentales prises à l’encontre de la Russie ont grandement contribué au rapprochement de cette dernière avec la République populaire démocratique de Corée, mais aussi d’autres pays comme la Chine, l’Inde, l’Iran et Myanmar.

Ce rapprochement de Pyongyang avec Moscou va bénéficier en premier lieu aux industries de défense de la République populaire démocratique de Corée et celles-ci pourraient réserver bien des surprises dans les deux années à venir.

Source : Strategika 51

3-Ukraine : l’US Army singe l’Iran ! 

Les États-Unis d’Amérique contre les Russes... pas étonnant, mais un pouls américain vient de pondre, ça par contre, c’est une bonne nouvelle ?

Comment les États-Unis ont rapidement déployé des missiles « Harpoon anti-navire » en Ukraine.

On connaît les lance-missiles iraniens : ils sont ultra-mobiles puisqu’ils sont montés sur des camions. Mais qui va les photocopier maintenant ? Nos soupçons viennent donc d’être vérifiés : les USA copient (lamentablement, ndlr) les Iraniens. Le site topwar.ru, qui nous livre ces nouvelles informations, apporte de précieux détails sur les circonstances du naufrage des deux navires de la marine russe.

En conférence de presse, le conseiller du secrétaire à la Défense, William LaPlante, en charge de l’acquisition, de la livraison, de la maintenance des armes et des équipements (et plus), a fait sensation en annonçant l’incroyable nouvelle d’une innovation qui venait de voir le jour.

Le 7 septembre de cette année (année 2022,), la publication déjà bien connue The WarZone, représentée par son auteur régulier Howard Altman, a tenté de créer le suspense en écrivant : « Mardi, l’un des plus gros clients du Pentagone a expliqué comment les États-Unis ont fourni à l’Ukraine des RGM-84 ; autre nom pour les missiles antinavires Harpoon qui, selon lui, ont été utilisés pour couler deux navires de guerre russes.

Et le site russe topwar.ru tout en essayant de transmettre à son lectorat russophone le degré d’excitation de l’auteur américain à travers les mots dit ce qui suit : 

“Un des pays qui est armé de ‘harpons’ en version bateau (le pays n’est pas mentionné), a proposé de faire une sorte de modernisation avec eux. Avec ce pays et un entrepreneur (toujours sans nom), ils ont réussi à placer les missiles à bord des camions transportant les roquettes et les lanceurs, l’autre innovation était l’alimentation électrique, le les camions étaient reliés les uns aux autres par un câble. [Applaudissements, SVP]

Ayant appris qu’il existait une méthode pour convertir la version navire du Harpoon en version terrestre d’exportation, l’Ukraine a sauté sur l’occasion en envoyant ses hommes en formation, ils y sont arrivés le jour du week-end. fin du ‘Memoria Day’. Et voici que quelques jours après ce grand événement, environ trois semaines pour être précis, deux navires russes ont chaviré par ces missiles.

En juin, l’Ukraine a annoncé qu’un navire de sa marine était entré en collision avec un navire russe près de Snake Island, à environ 20 milles au large. LaPlante n’a pas nommé le navire, mais il semble qu’il s’agisse du remorqueur de sauvetage Vasily Bekh, qui aurait transporté des armes, du personnel et des munitions sur l’île. Les responsables ukrainiens ont affirmé que cela avait été fait par deux missiles Harpoon.

Il n’y avait aucune confirmation de cette affirmation à l’époque, bien que le ministère ukrainien de la Défense ait montré une vidéo prise par un drone de type Bayraktar. La vidéo montre que le navire a été touché par deux missiles.

Pour mémoire, en mai dernier, les pays de l’OTAN ont annoncé qu’ils étaient prêts à transférer ces armes à l’Ukraine. Ainsi, le Danemark a annoncé la livraison de deux lanceurs de la version terrestre du RGM-84 et un nombre inconnu de charges, et les États-Unis ont annoncé en juin leur propre livraison de deux ensembles complets, comprenant des lanceurs et des pièces de rechange, mais sans mentionner les missiles.

Immédiatement après la déclaration de LaPlante, un porte-parole du Pentagone a précisé à la hâte que les ‘hommes-fusées ukrainiens’ n’étaient pas formés aux États-Unis et que ‘la formation a été menée par un ‘entrepreneur anonyme’, mais où exactement ? Le gouvernement américain en savait quelque chose, on ne sait rien du tout, que du Silence Radio depuis...

4-Vers une nouvelle guerre en Europe ? 

Une autre guerre en Europe pourrait faire éclater l’OTAN

La possibilité d’une guerre entre la Grèce et la Turquie en 2023 est très élevée et cette éventualité compliquera davantage une situation stratégique chaotique marquée par une autre guerre en Europe orientale.

‘Quand l’heure viendra, nous pourrions venir subitement une nuit’ a affirmé Mardi 07/09/2022 le président turc Erdogan à l’adresse des dirigeants grecs. Une menace directe…

La montée des tensions en mer Égée est presque continue depuis des mois. Les deux pays membres de l’OTAN se préparent à une guerre dans la région depuis des décennies et les Turcs sont plus que jamais certains de l’emporter dans un éventuel conflit après leurs succès relatifs en Libye, en Syrie, en Irak et au Nagorno Karabagh.

Un conflit armé entre deux pays membres de l’Organisation du traité de l’Atlantique Nord mettra un terme à l’existence de cette alliance telle qu’elle existe jusqu’à présent.

Des pays comme le Royaume-Uni et la France soutiendront automatiquement la Grèce tandis que la Turquie aura le soutien des États-Unis d’Amérique. Paradoxalement, la Russie orthodoxe pourrait également soutenir la Turquie contre la Grèce orthodoxe pour des raisons géostratégiques liées à l’élimination de la menace atlantiste en Europe. L’OTAN a déployé des forces conséquentes près des frontières avec la Russie et un conflit direct entre la Russie et le bloc OTAN n’a jamais été aussi imminent.

Techniquement, toute l’Europe orientale est actuellement soit en guerre soit en voie de l’être. La survenue d’une guerre au sud de l’Europe orientale compliquera davantage une situation déjà confuse.

Les chances d’un conflit armé direct entre la Pologne et la Russie sont de 1500 %. Beaucoup de ‘volontaires polonais’ sont morts en Ukraine et au moins 12 % des aéronefs de combat attribués à l’Ukraine ayant participé aux premiers mois du conflit étaient en fait polonais.

La Turquie refuse toute militarisation des îles de la mer Égée et a menacé de recourir aux armes en cas de réarmement de la Grèce de ces îles.

C’est une situation sérieuse. Le conflit en Ukraine va perdurer en 2023 et vu la crise économique mondiale générée et aggravée artificiellement par les moyens de guerre mondiale hybride des belligérants occidentaux et russes, la Turquie pourrait être tentée d’agir dans un contexte international plus que chaotique pour affirmer sa nouvelle posture.

Une telle éventualité aura pour conséquence une nouvelle guerre en Méditerranée orientale et un démantèlement de l’OTAN.

En 2024, la Turquie va célébrer le 100e anniversaire de l’abolition du Califat islamique le 3 mars 1924. Une date que le pouvoir du président Erdogan veut consacrer à la renaissance de l’Empire turc.

Source : Strategika 51

Un Magazin : La Russie transforme le ‘S-500’ en un tueur ‘F-35’

L’expert américain Wesley Kolb estime que la Russie veut transformer le nouveau système de défense aérienne S-500 ‘Prometheus’ en un tueur pour les chasseurs furtifs américains F-35 et F-22.

Le système de combat S-500 est le système de défense aérienne le plus récent et le plus avancé de Russie. Il est armé pour faire face à divers types de menaces aériennes, y compris des chasseurs américains avancés tels que le F-22 ou le F-35.

Selon l’expert, la nouvelle arme de la Russie n’a pas encore beaucoup d’expérience au combat, mais il est clair qu’elle a de très grandes capacités, selon le magazine 19fortyfive.

L’auteur de la publication américaine a déclaré : ‘Personne ne sait exactement à quel point le système de défense aérienne S-500 est dangereux au combat avec les meilleurs chasseurs furtifs américains, tels que les F-22 et F-35.
L’expert a déclaré que les informations concernant les caractéristiques techniques du ‘S-500’ sont strictement confidentielles. Tout ce que l’on sait du nouveau système russe, c’est que la nouvelle autonomie se situe entre 500 et 600 km. On pense également que le complexe de combat est capable de toucher des cibles à une altitude allant jusqu’à 200 km.
‘Le complexe est présenté comme une arme capable de frapper des chasseurs de cinquième génération, ainsi que des missiles balistiques, des missiles de croisière et même des satellites en orbite basse’, a déclaré Wesley Kolb.
Le S-500 n’est pas destiné à remplacer son prédécesseur, le système de défense aérienne S-400. L’arme moderne sera une sorte de complément aux systèmes de défense aérienne existants. Prometheus sera utilisé pour faire face aux types de menaces que le reste des systèmes de défense aérienne de la Russie ne seront pas en mesure de contrer.

L’expert a déclaré qu’il n’est pas possible pour le moment de vérifier les performances du S-500 au combat contre les chasseurs américains de cinquième génération. Une chose est claire : la Russie essaiera d’en faire un moyen efficace de le combattre.

L’expert américain estime que ‘bien que les caractéristiques du S-500 russe restent classifiées, il est clair que Prometheus jouera un rôle majeur dans le système de défense aérienne russe’.

Source : Sputnik