L'économie israélienne en faillite...
Au sommaire : 1-Le ciel allemand sous la botte d’Israël !
L’armée de l’air israélienne a entamé cette semaine des entraînements en Allemagne, une première marquée mardi par des commémorations dans l’ancien camp nazi de Dachau et de la sanglante prise d’otages des Jeux olympiques de Munich en 1972.
Les chasseurs allemands et israéliens participent jusqu’au 28 août à des exercices conjoints, baptisés « Blue wings 2020 », les seuls menés à l’étranger cette année par Israël en raison de la pandémie de coronavirus.
Ces entraînements communs constituent une « première » entre les deux pays sur le territoire fédéral.
Et pour de nombreux soldats israéliens, ils revêtent une importance symbolique 75 ans après la fin de la Seconde Guerre mondiale. C’est à vrai dire une nouvelle capitulation allemande.
Source : La Croix
2-Israël : des prémices d’un effondrement
Comme le confirme le journal hébreu Yediot Aharonot dans sa première page, les médias hébreux se sont penchés lundi matin, sur la crise économique qui ravage actuellement Israël et ils sont unanimes qu'Israël connaît sa plus forte récession depuis 1975 ».
Le PIB israélien a chuté au deuxième trimestre de 28,7 % par rapport au premier trimestre de l’année 2020, a indiqué dimanche un rapport du Bureau central des statistiques.
Aux aveux mêmes du site d’actualité israélienne i24 news, « Cette chute, la plus importante qu’ait connue le pays depuis plus de 40 ans, est la conséquence des restrictions imposées par le gouvernement depuis le mois de mars sur l’activité économique, pour endiguer la propagation de l’épidémie de coronavirus ».
La contraction de l’économie ramène le pays, confesse le site israélien, quatre ans en arrière, le PIB du deuxième trimestre de 2020 ayant un niveau similaire à celui du dernier trimestre de 2016.
Selon le chercheur en économie, Ahmed Mosbeh, malgré son développement industriel, technologique et militaire, l’économie d’Israël est corrélée à des facteurs de base dont les plus importants sont le soutien américain et européen, la sécurité et la stabilité politique, et la stabilité des indicateurs économiques aux États-Unis et dans l’Union. L’Union européenne est le principal soutien d’Israël, a-t-il déclaré.
Source : Raialyoum
3-De la Syrie en Biélorussie...
L’ancien drapeau biélorusse réapparaît subitement en pleine révolution colorée trahissant la signature unique des gestionnaires des guerres hybrides : cette signature rappelle les débuts de la guerre en Syrie.
Les manifestations protestant contre le sixième mandat du Président Loukashenko sont légitimes, mais l’occasion était trop tentante pour les faiseurs de guerres. D’autant plus que la Biélorussie figure sur la liste des pays à abattre. L’intrusion ou l’apparition de rebelles armés ne saurait tarder surtout avec la proximité de l’Ukraine, la Pologne et les pays baltes.
Alexandre Loukashenko n’a jamais été commode. Il a surtout tenu à garder une certaine distance avec Moscou, ce qui a exaspéré la Russie qui le considère comme un vestige d’une époque révolue. Il est surtout l’un des rares chefs d’État européens à dire tout haut ce qu’il pense de l’Union européenne et des valeurs dégénérées qu’elle propage.
Et ils tentaient de nous refaire le coup de la Syrie en Biélorussie s’interroge le site de revue, Strategika 51 !
Source : Strategika 51
4-Zarif : L’ère de la superpuissance américaine est terminée
« L’ère de la superpuissance américaine est terminée. Le corps du JCPOA a vaincu les États-Unis », a déclaré le ministre iranien des Affaires étrangères.
Lors d’une interview télévisée, Mohammad Javad Zarif a déclaré : « Les Américains ont fait des erreurs de calcul au cours de ces dernières années. Dans le cas du vote négatif du Conseil de Sécurité contre la résolution américaine, même les Européens ne se sont pas ralliés aux Américains. La Maison-Blanche a toujours essayé de maintenir les embargos sur les armes contre l’Iran. Mais les États-Unis ont échoué à cause de leurs mauvaises politiques qui ont été commencées avec le retrait de l’administration Trump du JCPOA en 2018. Les Américains n’ont pas pu faire adopter cette résolution au Conseil de sécurité, parce qu’ils ne comprennent pas que la situation mondiale a beaucoup changé. Les États-Unis essaient toujours de se mettre contre la communauté internationale. »
Source : IRNA