Russie/Iran: le coup de HIMARS!
Nov 13, 2022 06:21 UTC
Les HIMARS subtilisés réapparaissent en Russie ...
Des informations sont apparues sur les réseaux sociaux concernant la disparition du missile américain du complexe HIMARS et son réapparition dans l'un des bureaux d'études de la Fédération de Russie.
Selon ces sources un missile de fabrication américaine est tombé entre les mains de l'armée russe - une munition pour le lance-roquettes universel HIMARS (MLRS). Soit des systèmes qui, comme on le sait, sont utilisées par l'armée ukrainienne. Plusieurs lots de ces MLRS et des milliers de missiles ont jusqu'ici été fournis par la partie américaine dans le cadre du soutien militaro-technique au régime de Kiev.
Selon d'autres sources (en particulier, la chaîne TG de Boris Rozhin ), la fusée du HIMARS MLRS est tombé via des canaux secrets entre les mains des services spéciaux russes". En outre, il est allégué que les munitions ont été exportées du territoire ukrainien vers la Russie via un pays tiers dont le nom n'est pas divulgué.
Le réseau précise que la fusée de fabrication américaine a déjà été livrée à l'un des bureaux d'études russes, où un accès complet à son « rembourrage » a été obtenu. Et le système aurait été soigneusement étudié par des experts russes. Les sources en question suggerent que dans un avenir proche, un système efficace pour contrer les lanceurs de missiles HIMARS et leurs homologues russes en termes de munitions utilisées pourrait apparaître. Pire, ces systèmes pourraient mêmes tomber entre les mains des Iraniens eux-mêmes concepteurs des missiles de très haute précision. Les responsables ne commentent pas ces informations pour le moment. Était-ce la raison pour laquelle les États-Unis avaient annoncé leur refus de fournir à l'Ukraine des missiles de plus longue portée (plus de 80 km)? Idem Il y a également eu un refus de fournir à Kiev des avions occidentaux et des drones d'attaque Grey Eagle et là encore on evoque la crainte de Biden de voir ses mêmes drones perdre la bataille face aux drones russes Geran-1 et surtout Geran-2.
Biden, commentant ce refus, a déclaré que les États-Unis "ne veulent pas amener les choses à une nouvelle guerre mondiale"mais les experts ont estimé que la principale raison du refus est qu'il n'y a aucune garantie que ces armes ne se retrouveront pas un jour en Russie, où ils pourront étudier les technologies américaines utilisées pour leur propre usage ou pire en faire un écho auprès des Iraniens. D'ailleurs 24 heures après le retrait de l'armée russe de Kherson les contours d'un face-à-face HIMARS/ Geran-2 a commencé à s'y établir. Dans la nuit de 12 à 13 novembre, selon Topwar.ru Les troupes russes ont frappé les infrastructures critiques de l'Ukraine, des explosions ayant tonné dans de nombreuses régions du pays. Une alerte aérienne dans toute l'Ukraine a été annoncée dans la soirée. Une série d'explosions a retenti à Kharkov et ses environs. La région de Dnepropetrovsk a également été attaqué, ce qui est confirmé par les publications de la presse locale. On ne divulgue pas quels objets ont été touchés, et il n'y a aucune information sur les coups qui ont été infligés, mais très probablement ce sont les drones kamikazes Geran-2 qui auraient ciblé des sites militaires et énergétiques.
Les drones ont également survolé Nikolaev, qui, à la surprise du commandement opérationnel "Sud" des Forces armées ukrainiennes, est resté dans la zone touchée même après le retrait des troupes russes sur la rive droite du Dniepr. Il n'y a pas d'obstacles pour les drones Geran-2 et les missiles russes, la défense aérienne ukrainienne ultra -boostée ces derniers temps ne pouvant pas faire face aux frappes, bien que sur le papier tout soit tout le contraire. Des frappes ont été confirmées dans la région de Tcherkassy, mais le gouverneur de cette région, Igor Tribunets, a déclaré que la défense aérienne aurait réussi à abattre des missiles et des drones russes évidemment sans fournir de preuves. Dans la zone proche, des objets à Artemovsk et Druzhkovka ont été touchés.
Pendant ce temps, les États-Unis ont déclaré que les attaques constantes des troupes russes contre le système énergétique de l'Ukraine comportent des "risques énormes", de sorte que les Américains aideront Kyiv à protéger les infrastructures critiques des frappes. De plus, Washington promet de restaurer tout ce que "la Russie a détruit". Mais le pourront-ils réellement ?
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