Araghchi : L’Iran résiste à l’oppression / Attaque américaine contre un navire vénézuélien

Pars Today – En réaction aux propos du président américain tenus au Parlement israélien et à Charm el-Cheikh en Égypte, le ministre iranien des Affaires étrangères a déclaré sur son compte X : « L’Iran résiste à l’oppression. »

Mardi, sur son compte X, le ministre iranien des Affaires étrangères, Seyyed Abbas Araghchi, a déclaré : « Il est désormais clair que le président des États-Unis a été influencé par des informations erronées, selon lesquelles le programme nucléaire pacifique de l’Iran aurait été sur le point de devenir militaire au printemps dernier. »

Araghchi a souligné : « Comment peut-on s’attendre à ce que le peuple iranien croie au rameau d’olivier (symbole de paix) tendu par quelqu’un qui, il y a à peine quatre mois, a participé aux bombardements de maisons et de zones urbaines à travers l’Iran ? »

Le chef de la diplomatie iranienne a souligné : « L’Iran a toujours été prêt à un dialogue diplomatique respectueux et réciproque. Le peuple iranien, digne héritier d’une civilisation ancienne et riche, répond à la bonne volonté par la bonne volonté. Mais nous savons aussi parfaitement comment résister à l’oppression et aux diktats, et comment y faire face. »

Jihad islamique de la Palestine : la Résistance refuse le désarmement

Le secrétaire général adjoint du mouvement du Jihad islamique de la Palestine, a affirmé que les groupes de résistance n’avaient pas accepté de remettre leurs armes et qu’ils rejettaient toute tentative de désarmement par la force. Il a ajouté que Benjamin Netanyahu avait échoué dans sa quête illusoire de « victoire totale » et que le mouvement refusait la présence d’un représentant international pour administrer Gaza.

Président colombien à Trump : « Vendre des armes à Israël, c'est être complice de crimes »

Le président de la Colombie, Gustavo Petro, a vivement critiqué l’envoi d’armes à Israël pendant la guerre contre Gaza, qualifiant cette action de complicité dans des crimes. Il a souligné : « Livrer des armes à ce régime, alors que Benjamin Netanyahu commet un génocide, ne saurait être encouragé. »

L’ambassadeur d’Iran ironise sur ceux qui comparent Trump à Cyrus le Grand

Lors d’une cérémonie à Moscou célébrant les 2550 ans du premier texte sur les droits humains, l’ambassadeur iranien a lancé une remarque moqueuse à l’égard de ceux qui ont surnommé Donald Trump « Cyrus », en référence au roi perse. L’événement a rassemblé des diplomates et des passionnés de culture.

Lors de la cérémonie, l’ambassadeur d’Iran a rappelé que les civilisations orientales avaient toujours été fondées sur la culture de la tolérance, le respect de la dignité humaine et la coexistence. Il a dénoncé l’usage de l’expression « Trump comme Cyrus le Grand » par un responsable israélien, qualifiant cette comparaison d’inacceptable. Selon lui, il est absurde de présenter comme défenseur des droits humains quelqu’un qui soutient le massacre de dizaines de milliers de personnes dans un territoire aussi petit que Gaza.

Affrontements entre la police italienne et des soutiens de la Palestine

Alors que l’hymne israélien diffusé au début du match Italie–Israël, dans le cadre des qualifications pour la Coupe du monde, a été hué par une partie des supporters italiens dans le stade, des affrontements ont également éclaté à l’extérieur. À Udine, des milliers de manifestants pro-palestiniens rassemblés près du stade ont été confrontés aux forces de police italiennes. Certains manifestants ont qualifié ce match de « jeu de la honte » et ont exigé l’exclusion du régime israélien des compétitions internationales de football.

Attaque américaine contre un navire vénézuélien : Caracas dénonce une provocation

Le président américain Donald Trump a annoncé que la marine des États-Unis avait ciblé un navire vénézuélien. 6 personnes ont perdu la vie lors de cette attaque.

Selon les autorités vénézuéliennes, Washington tente de provoquer un affrontement en attaquant régulièrement leurs navires dans les eaux côtières, dans le but de créer un prétexte pour une confrontation directe avec Caracas.